Perché sur une colline, entouré de monts
Plus on se rapproche, il est fascinant
Il est si beau et impressionnant
Le village de mon père et de mes grands parents
Il est tellement loin, il me manque tant.
Je garde encore en moi, les souvenirs d'été
où soeurs, frères, cousins, la famille réunie
Dans la cour, à l'air pur, on restait pour veiller
Se raconter des blagues, discussions infinies
des rires, des chants, des "ourars", on improvisait
C'était le bon temps, qui ne reviendra jamais.
où soeurs, frères, cousins, la famille réunie
Dans la cour, à l'air pur, on restait pour veiller
Se raconter des blagues, discussions infinies
des rires, des chants, des "ourars", on improvisait
C'était le bon temps, qui ne reviendra jamais.
Je le revois encore en hiver, enneigé
Sous un manteau blanc, ses arbres alourdis
Le Djurdjura autour, lui donnant ses reflets
Les ravins, les rivières, au bas à son chevet
Ce beau panorama n'existe dans nul pays
Je donnerai cher pour le retrouver.
Sous un manteau blanc, ses arbres alourdis
Le Djurdjura autour, lui donnant ses reflets
Les ravins, les rivières, au bas à son chevet
Ce beau panorama n'existe dans nul pays
Je donnerai cher pour le retrouver.
Tassadit Ould Hamouda